vendredi 1 juillet 2011

Sur les traces de l'araignée



    Adopté et domestiqué le machin de Pascal, comme Mor l'expliquait dans le précédent billet, et trônant maintenant sur l'unique table de sa piaule, il fallait le connecter au reste du monde. Pascal lui avait expliqué que, tout pareil que dans Matriche, existait un grand zinzin auquel, par le téléphone, tous étaient branchés. Mais le seul téléphone de la pension était derrière la caisse que tenait la femme du bougnat et qu'elle muselait,  quand elle abandonnait son poste, grâce à un gros cadenas. Le câble lui-même, passait par un tube en plomb depuis qu'un petit malin s'y était branché une nuit. L'enquête du bougnat ne mena qu'à de soupçonneux regards torves sur tous et chacun des locataires. Heureusement pour le malin, d'ailleurs.


Pirate de la mer des ondes
    Alors, Mor en toucha un mot à Pascal qui, comme toujours, avait une solution pour tout problème de communication des machines. Il ferait bien de se les appliquer à lui-même, se disait Mor, peiné de la pauvre vie de son voisin qui avait le teint de plus en plus gris de ne jamais voir le jour qu'au travers de ses volets entre-ouverts. Indulgent avec la bourse de Mor, qui le lui rendait bien en longs compliments sur sa brillante et analytique intelligence, ce brave doux dingue, une fois de plus, dissolvait un tracas comme par magie. Il lui fit cadeau d'un appareil bizarre, une sorte de cafard noir et rouge, aux antennes chercheuses et plein de petites lumières clignotantes qui voulaient sûrement dire quelque chose, mais dont Mor ne s’enquit point tellement il redoutait les cryptiques explications de son philosophe de voisin. Tout ce dont il savait de cet étrange et nouveau bidule est qu'il se branchait par les airs à un autre de sa même espèce vivant quelque part dans le quartier et permettait au machin de Pascal d'accéder au grand zinzin. Internet que s'appelait ce que Mor appris être une grande toile d'araignée qui couvrait le globe. Répugnant, dégueulasse, ce qu'ils avaient fait au monde, pensait-il. On n'arrête pas le progrès qu'il se reprenait rapidement.

    Pascal recommandait, exigeait même, une discrétion totalement muette sur l'existence de cet engin qu'il fabriquait lui-même et vendait, sous le manteau, dans un petit commerce par lui monté dans un nœud de la toile. C'est là, mais chut ! S'il y a des fuites, Mor saura que c'est vous.

    La piaule de Mor n'était plus un coin pourri comme tant d'autres, éloigné de tout ce qui brillait. Il était branché à la toile et Mor décida de partir sur les traces de l'araignée. Voici, exposé ensuite, sur quoi il tomba dès les premières heures de son cybernétique voyage chercheur.



Le Corbeau et le Renard


Maître Corbeau sur un trône perché, tenait dans son bec not' fromage. Maître Renard depuis longtemps outré, lui tint à peu-près ce langage :

Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! ...

Nous rappelons au Président de la République de tenir sa promesse qu'il a fait lors d'un discours le 18/12/2006 :


"Je veux, si je suis élu président de la république, que d'ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid. Parce que le droit à l'hébergement, je vais vous le dire, c'est une obligation humaine. Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n'est plus choqués quand quelqu'un n'a pas de toit lorsqu'il fait froid et qu'il est obligé de dormir dehors, c'est tout l'équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s'en trouvera remis en cause." »


Trenet, de là où il n'est plus, lui fol-chanterait : Que reste-t-il de nos clochards ? Où vont-ils s'bourrer au pinard ? Est-ce que l'corbeau, le bon Sarko, leur chauffe les feeeeeeesseus ?



Crôaaaaaaaa... Ouf !
URGENT : Dernières nouvelles du petit bois

Maître Corbeau a failli dégringoler de son perchoir. Il fut rattrapé in extremis, avant de toucher la dure réalité du plancher des ânes par l'un d'eux.

Déchiffonage : la dégringolade ne fut pas fortuite. Maître Renard, lassé d'attendre une réponse, l'a colleté par une plume du cou et a voulu lui montrer l'effet que ça fait d'atterrir sur le bec.

Maître Renard, individu connu par la volaille pour sa dangerosité, est gardé à vue chez les poulets d'Agen, le tapin de la Garenne l'écrin de la Garonne, et l'âne sera décoré, entrant ainsi à former partie de la légion des leurres avec tous les honneurs dus à son intrépide et solidaire ânerie.





Fini ! le cœur dans les restos


Fin des aides européennes aux plus démunis

Heureusement ! Parce que c'est dégueulasse, le cœur. On dit que c'est tendre s'il est bien cuit. Ce n'est pas vrai et c'est même faux. Il n'y a rien de plus impraticable au dentier que le cœur. Immangeable ! De la viande en plastic, du chewing-gum en sang, bref, c'est pour les pauvres. Alors. on s'en fout, ils n'ont qu'à manger de la bavette comme tout le monde.

Sur l'air de la chanson de l'auvergnat de Brassens
La chanson de l'enfoiré
Tu f'sais marrer en f'sant le con,
Toi l'enfoiré qui sans façons
M'avait plié, roulé par terre
Quand ma vie ramait aux galères.

Toi qu'a mis l' feu aux élections
Pestilentielles, que du bidon,
Fait trembler l'accordéoniste
Et la momie ce vieux fumiste.

Mor Aucon.
Ce n'était pas qu'un peu de joie
Mais beaucoup plus, c'était d' l'amour
Et dans mon cœur, tu t' marres toujours,
Á ta manière t'étais le roi...

Toi l'enfoiré maint'nant qu' t'es mort
Que personne n'ose l'ouvrir encore
Reste gravé dans mes oreilles
Ton rire éternel.
Reste là-bas, va !
Ici c'est de plus en plus tarte.






Fuites du bac


Le bac fuit de partout et afin qu'il ne se vide, le garde des Sceaux l'a mis en garde à vue.

Pas de panique. Le bac est bien gardé.






Finies ! les vacances en Hollande


Dans le port d’Amsterdam, y’aura plus de marins qui fument.

C'est dans Les InRocks que le dit Arnaud. Et il donne son nom, ce con. Arrête de fumer ce caca, ça empeste, ça rend fou, hachachin et cha pique les yeux. Regarde Bob Marley, il en est mort. Lennon aussi, il n'a rien pu voir arriver et Sherlock Holmes, nom d'une pipe ! Janis et Jimi euthanasiés, l'une rauque, l'autre foudroyé en plein vol, Otis, victime d'un pilote fumé, Christian Dior vaporeusement voilé, pas étonnant que Galliano soit mort-né taré profond et Sarkozy, euh... non, lui il peut pas. Il n'est déjà pas très malin, un léger coup de pouce serait instantanément fatidique. Il passerait l'âme à gauche. Triste sort que serait le sien.

Géraaaaard ! Passe au Pinard...
Heureusement, les hollandais ont compris. Ils sont bien plus malin que nous qui laissons les dealers entrer dans les écoles. Eux, ils repoussent l'envahisseur grâce aux enfants.

« ... les coffee shops devront se situer à plus de 350 mètres de la première école, ce qui pourrait obliger plus de la moitié d’entre eux à fermer. »

Balaise ! C'est Sun Tzu appliqué à la guerre des gangs. Mais, attention. Il ne faut pas trop en parler, des fois qu'ici, ils essayeraient le même coup avec les troquets.






Hugo Chavez est dans un état critique


Tu parles d'une nouvelle ! On le savait depuis longtemps. Ah non ! Ce coup-là, c'est différent. Selon TF1 news, média bien français, comme son nom d'indic :
Son silence inquiète son entourage...

« Le président vénézuélien Hugo Chavez, opéré à Cuba le 10 juin, se trouve dans "un état critique, mais stable", affirme le journal de Miami en langue espagnole El Nuevo Heraldo, citant une source anonyme des services de renseignements américains. ».

El nuevo Heraldo escribouille :

« “Se encuentra en un estado crítico; no grave, pero sí crítico, complicado”, indicó una de las fuentes consultadas, cuya identidad no puede ser revelada debido a la sensible ubicación en la que se encuentra. »

Traduction : « Il est dans un état critiqué, non pas gravé mais critiqué, compliqué ( NDLR : ce n'est pas grave, Madame la Marquise, ce n'est pas grave c'est critique. ), a indiqué uné des sourcés consultéés dont l'identité né pét êtré révéléé pour causé dé la situation géographiqué sensiblé où éllé sé trouvé.

Miami, anonyme, renseignements américains, localisation sensible ? Ça sent le coup fourré. Ils sont vaches, ces ricains. Ils lui ont mis un coup de harpe sur la figure et ils l'ont tout trembloté, c'est sûr. Ses proches et ses fidèles sont très inquiets. L'opposition, d'habitude déballonnée, se débâillonne et rigole un peu. Elle ne se fait pas trop de souci pour la santé du grand cacique à la chemise rouge. Mor, non plus.

El nuevo Heraldo poursuit : « Des analystés indiqué qué l'idéé qué Chavez pourrait êtré séparé pour un temps du pouvoir suffirait à provoquer un fort choc interné pour lé contrôlé du mouvément qu'il lidèré. »

Ils attendent, ces analystes, que les chavistes se bouffent entre eux. Mais il va s'accrocher, Hugo, bec et ongles jusqu'à griffer tout le dos du Venezuela jusqu'au sang. Il en a vu d'autres. Patria o muerte !





 Les fous de Dieu


Pakistan - Sauver Asia Bibi. Mais comment ?

Là, ce n'est plus drôle du tout. C'est tragique. Cette dame, Asia Bibi, est enfermée chez les fous. Non, elle n'est pas folle. Elle a juste eu un coup de ras-le-bol et les fous lui en veulent. Ils disent qu'il faut la pendre dans sa cellule parce qu'elle ne croit pas en le bon dieu.

En voilà une bonne raison pour se faire agnostique. Pas d'erreur spirituelle possible. Quoique, mieux vaut ne pas trop abuser de la patience des fous de Dieu. On ne sait jamais. Ils ont la pierre et le détonateur faciles, ces gens-là. Ils ne doivent pas beaucoup aimer les indécis, non plus. Pourtant, ils n'étaient pas comme ça, avant, il y a longtemps, pas mal longtemps. Ils ont inventé plein de choses savantes et avaient même un sacré humour. Un truc bizarre a dû se passer qui les a fait, fatigués d'en porter le poids sur leurs frêles méninges, se débarrasser de leurs connaissances. Ce ne peut être que ça. Pourvu qu'ils se reprennent avant que cette jolie dame ne pende d'un bout de chanvre dans une geôle pourrie. Misère ! Quelle tristesse ! Quel gâchis !





Les autres fous de Dieu : la plus grande question


Mor est très déprimé. Emporté par un blues spirituel provoqué par la situation de Asia Bibi, il est saisi par une promesse d'amour que lance un petit carré publicitaire. De la pub pour l'amour, il ne peut y avoir de mal, c'est pour une bonne cause.

Dieu aime à Mor. Mince ! Il bien le seul. Il pourrait venir le lui dire lui-même mais il doit être timide et envoie son messager caracoler sur l'internet. Tant de dévouement de la part du messager mérite qu'on lui prête un peu d'attention. Le petit carré attire le curseur comme un aimant d'amour. Le clic est inévitable.

Sur l'écran de la bécane apparaît un beau site, bien doux, comme du duvet synthétique, aux couleurs peintes au pastel. Ho la la ! Quelle paix intérieure envahit Mor face aux bouilles souriantes de partout qui s'affichent sereines dans tous les coins de la page. Dans un autre recoin, « Contact ! » refait le coup de l'aimant amoureux à la souris de Mor.

Il faut y aller, c'est du beau, du bon, c'est du bon et gratuit, aussi. Pas de raison de temporiser.

Alors Mor contacte d'un clic plein d'espoir et se dirige vers le troisième type de la rencontre. Un formulaire ! Ce n'est pas très magique, mais bon. Il est là pour nous aider avec notre question, qu'il dit, gentil. On préférerait, peut-être, qu'il nous aide à la résoudre mais ne chipotons pas, il a l'air québecois. C'est du vieux français. Ils sont déjà bien aimables, là-bas, de bien vouloir conserver nos vieilleries alors que nous les avons délaissées, comme des idiots, depuis belle lurette.

Maintenant, il faut une question et c'est déjà un problème. C'est, peut-être, ce que veux dire « aider à votre question » ? On se lance : « Quelle sorte de question peut-on poser pour être aidé avec elle ? ».

Non c'est pas bon. Il va se vexer, le messager. On efface tout. Allez, on se relance : « La vie de Mor est une vie de con, avez-vous quelque chose contre ça ? Mor. ».

À peine envoyée la requête, débarque la réponse dans la boite aux lettres électroniques. Balaise ! Quelle efficacité ! En voilà un messager de l'espoir, rapide et attentif au sort des malheureux.


 Ah non ! il y a erreur, M. le messager. Mor promet qu'il n'a pas écrit « r
r&#13 ». Il n'oserait jamais. Ce doit être un bug, une petite bestiole dans la tête du facteur de l'internet. Et puis, pardonnez le manque de confiance du diabolique Pètemail qui ne fait confiance qu'à ce qui vient de chez lui. Il est très soupçonneux, pour notre bien qu'il dit, mais quand-même...

« Merci de prendre le temps de répondre à notre email. ». Encore une erreur. C'était une question pas une réponse. Enfin, passons. Tout le monde peut se tromper même le messager du divin. À moins qu'il ne le dise dans le style : Merci de ne pas me gonfler... Non, ça ne peut pas être ça. Ils ont l'air trop gentils pour envoyer un malheureux sur les roses. Au diable la parano, procédons :

« Un volontaire répondra à vos questions » mais, vous l'avez déjà la question, merde ! Et il n'y en a qu'une seule. Elle est là, dans le titre. Il est bigleux ce messager.

« Si nous nous rapprochons de Dieu, il viendra à nous, Jacques a dit. ». Comment ça ? Il faut y aller pour qu'il y vienne. Mais, c'est de l'immobilisme de sa part ! Normalement, c'est celui qui pose la question qui est embourbé et peux plus bouger, non ?

Je vous donne un exemple, M. le messager :

Imaginez un gars, enterré jusqu'au coup dans les sables mouvants, pleurant vers son copain tranquille les pieds au sec.

- « Aide-moi ! Viens ! Lance-moi une corde. Ne me laisse pas tomber. »

- L'autre lui répond : « Bouge-toi un peu si tu veux que j'aille t'aider... »

C'est de la non-assistance à personne en danger. C'est peut-être divin mais c'est surtout inhumain. Jacques a dit, aussi.

Ensuite, le messager dit qu'il faut cliquer sur pas un, pour apprendre. Vous rendez-vous compte de l'absurdité de la proposition ? Alors ne vous inquiétez pas, M. le messager, il y a peu de chance qu'on vous dérange en répondant. Et le volontaire peut, très volontairement, oublier la question et l'adresse de Mor. Allez d'urgence vous reposer, M. le messager.

Re-Misère ! Re-tristesse ! Mor garde son blues et s'en va écouter à Buddy Guy et B.B. King. Eux aussi, ils sont fous et des fois, ils soupirent en croyant parler à Dieu. Mais ce n'est pas du tout pareil. Écoutez...






Osez le clito !


Voilà une vraie campagne de pub qui sert à quelque chose, pour une fois.

« Parce que donner du plaisir aux femmes est la seule utilité de cet organe méconnu »

Messieurs, attention à ne point faire d'amalgame. Cela ne peut s'extrapoler jusqu'à déclarer que donner du plaisir aux hommes est la seule utilité de cet organisme méconnu qu'est la femme. Si vous ne faites que le penser, attention aussi. Pour l'instant c'est privé mais on ne sait pas jusqu'à quand.

« il est enthousiasmant de sentir l’orgasme d’une femme au bout de sa langue. », qu'elles disent d'elles-même, de leur propre plein gré. On croit rêver, c'est le paradis ! Très bien et utilement dit, mesdames les féministes. Réveillez-vous, les bigotes, et laissez-nous vous montrer. Vous toutes seules, vous n'y arriverez pas. C'est trop difficile et ça fait mal aux reins. Mais, en y pensant bien, s'adressent-elles à nous les mecs, les féministes ? Un doute assaille la tête de Mor...


Mmmm, y'a bon, Banane ! euh... non, pardon. Celle-là, on ne peut plus la faire, ni même la penser. C'est raciste, parait-il. Mor a très honte. Durant toute son enfance, il adorait la boite. Il n'aurait pas dû.

Son pote Abdoulaye, grâce à qui il a pu supporter la torture obligatoire sur le même banc de l'école Jules Ferry, adorait, lui aussi, la boite. Abdoulaye, loyal et malin copain qui aidait Mor à comprendre pourquoi Vercingétorix était notre ancêtre à tous. Il n'aurait pas dû, lui non plus.



Léchez-les toutes !
OLF reconnaîtra les siennes...



De l’audace, encore du salace, toujours sur la garce… ( du Danton, ça devrait passer, non ? C'est républicain. Enfin on croise les miches, on verra bien )

Mor avait déjà osé la fessée, pas sur une chienne de garde, non. Il n'est pas encore assez fou. Elles ont les dents beaucoup trop longues, peu de fesses et Mor est bigleux, il raterait le coup. Alors, il se lance de ce pas, à oser partout cette nouvelle pub. À tâtons et avec un casque, ce sera le mieux. Et, peut-être avec un ciré...

À l'assaut ! Surmontons ce rempart qui ne saurait barrer la route à la modernité et au progrès. Merci mesdames.




Pour terminer


Tenez un article, très à propos, dénonçant une magouille de plus des monopoles pharmaceutiques, au Cameroun, cette fois.



DERNIÈRE HEURE : Affaire du présumé culpabilissime perp walké par les nouilles yorkaises

Les dessous de cette sombre embrouille, dévoilés en exclusivité il y a quinze jours, se confirment. Hé Hé ! On n'a pas fini de se marrer.


Mor Aucon.

6 commentaires:

  1. Tiens, il y a du neuf sur mon blog préféré! Une revue de presse à la façon moraucon ? ça va être SA- VOU-REUX!!!

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  2. C'est bien le cas de le dire, oui. Merci Madame pour l'encouragement. Mor lui aussi en a besoin, des fois.

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  3. Je vais suivre ton conseil :clito dit clito fait .
    C'est vraiment compliqué pour mettre un com sur ce blog ....
    anto

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  4. Compliqué ? Encore une brimade d'un censeur planqué par là. Mor va jeter un coup d’œil.

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  5. Mince, le spam abscons du blog Nanarland semble fonctionner : j'ai eu envie de cliquer sur le lien et me voilà sur ce blog, à découvrir le traitement spleeno-primesautier que Mor Aucon réserve à notre Sick Sad World. Well done !

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  6. Bien fait ? De nada M. Rien. Vous êtes un peu compliqué, vous. Merci, quand même. Ça fait toujours très plaisir de se sentir compris par des gens qu'on ne comprend pas.
    Mor, emmêlé.

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Allez-y sans peur de reproches.