jeudi 14 juillet 2011

Sur les traces de l'araignée II

14 juillet : jour des révolutionnaires

Que reste-t-il des figures de poupe de la grande galère ? Qui suit le peuple, aujourd'hui ? Grâce à qui, les damnés de la terre se forment-ils en rangs d'oignons pour se faire pousser, malgré leurs faiblesses toutes naturelles, au front de la lutte pour la liberté des immortelles bonnes idées du guide de la révolution ? Il n'en restait plus guéguerre, de ces bien-aimables leaders. Heureusement, une nouvelle génération de grands chefs, illuminés par la vraie cause du vrai de vrai peuple populaire, apparaît spontanément. Pas d'inquiétude à se faire, la génération spontanée des bonnes idées n'est pas morte. Pas la peine de se torturer les méninges, les sauveurs ont réapparus.


Hugo la chandelle

Acclamé par la foule, Hugo la chandelle est de retour


Hugo est de retour. Il a recouvert l'usage de la parole et nous fait coucou en lançant un gazouillis sur le piailleur. Il retouitte enfin.

Hugo fait coucou et lance un premier piaillement

Traduction pour les nuls en vénézuélien

@chavezcandanga

Déchiffonnage : Au Venezuela candanga c'est la chandelle. Alors non, ce n'est pas une allusion à une quelconque passivité du type faire banquise, pas du tout. Ils ne connaissent pas ça sous les tropiques. Ça veut dire que c'est celui qui illumine. L'illuminé qui guide les aveugles sur le chemin de la révolution. La bonne traduction en français est donc : Chavez la chandelle.


Hugo la chandelle allume touitteur
Alors, bien sûr, il y en a déjà qui font les gorges chaudes comme ce petit malin qui croit que personne ne sait où il habite : Le Canal de Gabriel . Il se fout de la gueule du bien-aimé guide de la révolution chaviste sous prétexte qu'en espagnol d'Espagne, ce royaume inique d'un roi malpoli qui a osé dire « Ta gueule ! » au meilleur bavard révolutionnaire, cela veut dire vagabond, rôdeur et voleur de poules, qu'au Salvador et au Honduras, candanga c'est le nom du Diable, qu'à Cuba ça veut dire embrouille, qu'au Mexique, c'est quelque chose qui vient par surprise te faire très mal dans le bas du dos, qu'au Guatemala c'est carrément la grande faucheuse et qu'au Brésil, ça sert à désigner les indésirables parce que les esclaves africains n'étaient pas si con qu'ils en avaient l'air et appelaient candangas aux portugais qui les fouettaient mal. Alors Daniel, mon gars, t'es mal barré avec ta propagande à deux balles. En plus tu creuses ton trou tout seul en inventant des touittes pourris sous un faux pseudonyme avec même, comble de ta connerie, une faute d'orthographe : @chavescandanga. Ben voyons, tu prends les enfants du bon dieu pour des couillons sauvages, hein ?

Clarifiées ses tentatives idiotes de propagande capitaliste, reprenons la traduction :

Je suis donc ici, chez moi et très heureux !! ( deux points d'exclamation !! Normal, il vraiment content d'avoir échappé au crabe malin qui lui bouffait le c...olon)

Bonjour ma Venezuela chérie ! ( euh... oui, comme si c'était sa femme, il faut comprendre, tout est relatif, c'est de l'idiosyncrasie ) Bonjour mon peuple chéri ! ( pas de sous-entendus grossier s'il vous plaît, c'est la suite de la tournure poétique ) Merci Mon Dieu ! ( le sien à lui avec une grande M, il a bien le droit, non ? ) C'est le début du Retour ! ( le commencement du retournement, c'est un cercle vertueux )

Chavez la chandelle est donc de retour aux affaires et il a du pain sur la planche puisque l'Empire du mal en a profité pour gagner du terrain chez lui et menacer la liberté durement protégée. Alors tout de suite, il allume un cierge et le dirige vers l'ennemi héréditaire. Ils peuvent trembler les impérialistes, qui essayent toujours d'envahir la cour du derrière de l’Amérique, à reculons comme si de rien n'était, à voir la taille du cierge.


Les fausses informations des néocolonialistes, calomnieuses au possible, qui clamaient que Hugo la chandelle était atteint d'un cancer du colon ( Ah ! Doublement perfides, les vaches ! ) étaient bien évidemment fausses.

Hugo est revenu et nous pourrons, enfin, jouir de son humour à la Francis Blanche, le regretté terroriste du téléphone et de sa sainte croisade contre Domino's Pizza.


La tête que fait Simon Bolivar, scotché derrière, en dit long sur l'admiration sans borne que sentirait El Libertador, s'il revenait de là où il n'est plus, pour Hugo la chandelle.



Michèle la belle

Vous mes mains, ne vous ouvrez pas, vous mes bras, ne vous tendez pas, sacrée Michèle puisque te v'la...

Bande sonore de l'article


Michèle Bachmann : « Les enfants noirs allaient mieux quand ils étaient esclaves »


Michèle ma belle sont des mots qui...
En voilà une vraie révolutionnaire. On cède à son charme. Impossible de résister plus longtemps. Courageuse, elle s'assume, décomplexée comme très peu savent l'être chez nous, et nous rappelle les grandes évidences de l'histoire. Les esclaves, enfin libérés de l'implacable tyrannie de la sauvage nature africaine, pouvaient désormais rêver d'apprendre à devenir des citoyens modernes. L'absence de documents graphiques dignes de foi de cette époque glorieuse, ne peut empêcher la vérité de refaire surface. Ni les ingrats comme Malcom X qui a osé abandonner son maîtrenyme généreusement offert par un brave Little blanc, ni les pamphlets larmoyants comme La Case de l'Oncle Tom ( que même Malcom l'ingrat n'aimait pas, c'est tout de même un signe ) ne pourront rien y faire. La vérité est sortie de l'élégante bouche de Michèle la belle, l'élégante égérie du parti du salon de thé.


Elle a même ajouté sur la lancée de son intrépide combat pour la vérité : « L’esclavagisme a eu un impact désastreux sur les familles afro-américaines, mais malheureusement, un enfant né dans l’esclavage en 1860 avait plus de chances d’être élevé par sa mère et son père dans une famille avec deux parents qu’un bébé afro-américain né après l’élection de l’actuel Président des Etats-Unis. » Ça en bouche un coin à toutes les langues en bois, hein ? 




Michèle n'a jamais peur de l'ouvrir bien grande
Mais voilà, la réaction des faux blancs ne s'est pas faite attendre. La calomnie est partout et il arrivent même à dire qu'elle est très conne et aurait mieux fait d'ouvrir un livre d'Histoire au lieu de s'empiffrer de Elle et de Lui ( la preuve qu'elle n'est pas raciste, elle s'intéresse à nous aussi ). Il n'y a que la vérité qui dérange c'est bien connu. Il est notoire qu'un petit esclave avait un vrai papa esclave et une vrai maman esclave tous les jours avec lui. C'est pour ça que les enfants esclaves étaient forcément plus heureux que les enfants noirs d'aujourd'hui, à l'époque du sexe déchaîné où tout le monde couche avec tout le monde et souvent les enfants noirs en deviennent pâles. Plus personne ne les reconnaît, c'est le bordel complet. Ce n'est tout de même pas difficile à comprendre ça, non ? Pas besoin d'être agrégé des génétiques mensonges qui disent qu'on est des singes même nous les blancs, pour comprendre de l'arithmétique de base, quand-même.




Regardez comme elle s'explique très bien et coupe la chique à un jeune con qui voulait se foutre de sa belle gueule.



L’infâme qui se se faire appeler journaliste mais qui s'appelle réellement Stephanopoulos, encore un rancunier ingrat, l'interviewait en direct :

Stephanopoulos: Sarah Palin en Iowa, le président Obama en Iowa, un temps d'avance sur eux - congressiste Michele Bachmann. Elle était officiellement en Iowa hier. Ce matin, elle est dans le New Hampshire. Merci de vous joindre à nous congressiste. [ Il commence en parlant des autres l'hypocrite...]


Bachmann : Merci George, heureuse d'être avec vous ce matin. [ Voyez comme elle est gentille... ]



Stephanopoulos : Dans votre communiqué, vous avez dit « ma voix fait partie d'un mouvement pour reprendre notre pays. » De qui? [ commencent les sous-entendus... ]



Bachmann : Eh bien, des gens de toute la nation. La voix que j'ai découverte en Iowa où j'ai grandi, est la très raisonnable voix du bon sens qui est celle que j'ai appris, que j'ai amené - avec succès aux Congrès. Et maintenant je veux l'amener à la Maison Blanche pour que nous puissions remettre le pays sur la bonne voie et la création d'emploi. C'est le message qui est en résonance avec les gens et c'est pourquoi tant de gens visitent mon nouveau site, michelebachmann.com. Ils nous rejoignent sur Facebook et Twitter. C'est vraiment un mouvement grandissant, nous sommes dans le New Hampshire aujourd'hui, en chemin vers la Caroline du Sud pour commencer notre tournée en bus et nous sommes très animés par la réaction des gens partout dans le pays. [ hé hé, c'est le raz de marée de thé... ]

Stephanopoulos : Vous faites beaucoup de progrès, et attirez également beaucoup l'attention. Je ne vais pas trop approfondir sur le « flake flap » de dimanche dernier. [ en mentionnant « flake flap » le fourbe se réfère aux excuses de Michèle qui s'était trompée sur la ville natale de l'icône républicaine John Wayne en lui attribuant celle de John Wayne Gracy tueur en série. Tout le monde peut avoir un coup de pompe matinal et se tromper, non ? ] Mais au fur et à mesure que votre campagne progresse tout ce que vous dites va être examiné plus minutieusement. Le site, récompensé par un Pulitzer, Politifact, a constaté que vous avez le pire dossier en fausses déclarations d'entre les principaux prétendants. Je me demandais si vous vouliez une chance de clarifier certaines de vos déclarations passées. Par exemple, cette année vous avez dit que les Pères Fondateurs qui ont écrit la Constitution et la Déclaration d'Indépendance ont travaillé sans relâche pour mettre fin à l'esclavage. Mais, et avec le respect que je vous dois congressiste, ce n'est, tout simplement, pas vrai. Beaucoup d'entre eux dont Jefferson et Washington étaient en fait propriétaires d'esclaves et l'esclavage n'a pris fin qu'après la guerre civile. [ il l'a traite carrément de menteuse ou d'inculte, la vache, c'est un journaliste à la solde du Diable... ]


Bachmann : Eh bien vous savez ce qui est merveilleux, c'est que dans ce pays et en vertu de notre Constitution, nous avons la capacité, lorsque nous reconnaissons que quelque chose est mauvais de le changer. Et c'est ce que nous avons fait dans notre pays. Nous l'avons changé. Nous n'avons plus d'esclavage. C'est une bonne chose. Et ce que notre Constitution a fait pour notre nation est de nous donner la base d'une liberté inégalée dans le reste du monde.[ belle leçon de tolérance... ]

Stephanopoulos : Je suis d'accord avec ça ... [ hé hé foudroyé qu'il est, le fourbe ]



Bachmann : C'est ce que les gens veulent ... ils se rendent compte que notre gouvernement nous enlève notre liberté.


Stephanopoulos : Mais ce n'est pas ce que vous avez dit. Vous avez dit que les Pères Fondateurs ont travaillé sans relâche pour mettre fin à l'esclavage. [  mais il insiste encore, il en redemande l'inconscient... ]


Bachmann : Eh bien, si vous prenez l'exemple d'un de nos Pères fondateurs, John Quincy Adams, c'est absolument vrai. C'était un garçon très jeune quand il était avec son père lui servant essentiellement de secrétaire. Il a travaillé sans relâche toute sa vie à faire en sorte que nous puissions, en fait, un jour éradiquer l'esclavage .... [ paf ! leçon d'histoire... ]

Stephanopoulos : Ce n'était pas l'un des Pères Fondateurs - il fut président, secrétaire d'État, membre du Congrès, vous avez raison, il a travaillé pour mettre fin à l'esclavage quelques décennies plus tard. Mais soutenez-vous que les Pères fondateurs ont travaillé sans relâche pour mettre fin à l'esclavage ? [ il est con, il n'y comprend rien, pardonnez-lui, il ne sait plus ce qu'il dit... ]

Bachmann : Eh bien, John Quincy Adams, fit très certainement partie de l'époque de la guerre révolutionnaire. C'était un jeune garçon, mais il y a participé activement. [ re-leçon d'histoire, ce n'est pas parce que c'était un gosse qu'il ne pouvait pas être père... ]

Stephanopoulos : Eh bien laissez-moi passer à une autre de vos déclarations, celle-là sur la question des emplois, qui est au cœur de cette campagne. Vous avez dit en 2005 que la suppression du salaire minimum pourrait faire quasiment disparaître le chômage. Où est la preuve de cela ? [ rien à voir avec le sujet, il louvoie, le popopoulos ]

Bachmann : Vous savez, je pense que ce que nous devons faire est, à nouveau George, se concentrer sur la création d'emplois. Je fut conseillère fiscal en contentieux avec les impôts fédéraux. J'ai travaillé pendant des années dans le système judiciaire de l'impôt fédéral et j'ai vu les effets dévastateurs des taxes trop élevées sur les entreprises, les particuliers et les agriculteurs. Et je crée aussi des emplois. Mon mari et moi avons commencé, à partir de zéro, une petite entreprise prospère. [ Son mari a une clinique de réhabilitation des tristes gays perdus par la Bible, une belle œuvre de Dieu, nous en parlerons plus loin ] C'est vraiment la voix que j'entends aujourd'hui dans le New Hampshire. Les gens sont très fâchés que le président nous a plongé à 9,1% de taux chômage. Ce n'est pas acceptable. Il nous a promis que nous ne verrions pas ce taux de chômage dépasser les 8%. Nous avons perdu des millions d'emplois, les gens souffrent, ils souffrent et je ressens leur douleur et je veux m'assurer que ce que nous faisons pour l'avenir est effectivement régler ce problème, relancer l'économie et la remettre sur la bonne voie, car c'est vraiment ce dont se soucient les gens - c'est ce qu'ils disent dans tout le pays. [ quelle sainte patience à cette femme !... ]

Stephanopoulos : Je pense que tout le monde veut abaisser le taux de chômage, mais croyez-vous toujours que la suppression du salaire minimum pourrait pratiquement éliminer le chômage ? [ mais il est bouché, ma parole ! ]

Bachmann : Je pense que ce que nous devons faire est de réunir les économistes ensemble, les personnes qui ont travaillé dans ce domaine pour nous indiquer quelles sont les régulations tueuses d'emplois ce qui pourraient nous aider à remettre l'économie sur la bonne voie. Et donc je pense que nous devons examiner toutes les réglementations des différents ministères et le faire. Malheureusement, sous le président Obama, nous avons assisté à une formidable expansion d'encore plus de réglementation gouvernementale, ce qui mène à encore moins de création d'emplois. Donc, il y a plusieurs tactiques que nous devons envisager, une est la fiscalité, l'autre est le fardeau de la régulation qui ajoute environ 1,7 billions en charges sur les créateurs d'emplois. Si l'on pouvait les lever alors je pense que nous verrions plus de gens avec des salaires plus élevés, de meilleurs avantages sociaux et plus d'emplois parce que ce que nous voulons, c'est une croissance de l'emploi en Amérique plutôt que de voir les emplois se transférer à l'étranger. [ belle leçon d'économie maintenant, moins de lois limitant les entreprises veut dire plus de bénéfices pour les travailleurs, c'est évident... ]

Stephanopoulos : Je vais essayer une fois de plus, donc vous dites que le salaire minimum est l'une de ces régulations que vous avez à l’œil, allez-vous essayer de l'éliminer ? [ mais il en devient insolent, le fourbe ]

Bachmann : Eh bien ce que je dis, c'est que je pense que nous devons examiner tous les règlements, quels qu'ils soient - quels que soient ceux qui inhibent la croissance de l'emploi nous devons le faire - [ la classe, tout simplement, l'esquive élégante du coup bas... ]

Stephanopoulos : Et le salaire minimum est l'un d'eux ? [ vraiment quel mufle !... ]



Bachmann : Toutes les régulations, George. Je pense que dans chaque ministère. Nous avons tout simplement trop d'expansion des taxes gouvernementales et que nous avons besoin de les tasser de sorte que le peuple américain puisse garder plus de ce qu'il gagne. [ bon c'est clair, arrête de pousser mémé dans les orties, le journaleux ]

Stephanopoulos : À peine deux questions de plus. Pensez-vous que Sarah Palin tente de démériter votre passage en venant en Iowa aujourd'hui ? [ mais il essaye de semer la zizanie entre Sarah et Michèle, le Iznogoud ]

Bachmann : Vous savez, je pense que c'est merveilleux que le gouverneur vienne en Iowa. Je pense qu'ils vont l'apprécier, elle va certainement les apprécier. Les gens en Iowa sont simplement des gens merveilleusement transparents et ce sont leurs valeurs, leur caractère et leurs mœurs qui m'ont imprégnés quand, petite fille, j'y grandissais. C'est la voix que je veux porter à la Maison Blanche parce que c'est une voix qui a disparu depuis longtemps. Nous avons besoin à nouveau de ce genre de bon sens et de ce - cet heureux optimisme fougueux et je suis impatiente de porter cela à la Maison Blanche. [ du bon sens et de l'optimisme, qu'elle est belle la vie ]

Stephanopoulos : Pour terminer, une dernière question. Je pense qu'une des choses les plus impressionnantes que les gens trouvent dans votre parcours est le fait que vous et votre mari ont pu élever 23 enfants placés et je sais que vous voulez les protéger, mais sont-ils préparés et êtes-vous prêt à la perte d'intimité que suppose une campagne présidentielle? Est-ce quelque chose qui vous inquiète pour eux ? [ toujours là à chercher la petite bête, le popoulos ]

Bachmann : Eh bien, lorsque nous avons pris cette décision capitale, nous nous sommes réunis un longue période en tant que famille et avons réfléchi à ce que cela voulait dire, et oui, nous sommes prêts. Nous avons cinq merveilleux enfants biologiques. Notre dernier va au collège et notre plus ancienne est un docteur. Et puis nous avons eu beaucoup - un grand nombre d'enfants accueillis, 23, chez nous. Comme vous pouvez imaginer et prévoir, nous avons essayé de préserver leur vie privée et nous le ferons, nous allons respecter leur intimité. Nous sommes reconnaissants de les avoir eus, mais voulons aussi respecter leur intimité et celle de leurs familles. [ c'est encore plus beau que l'étable de Bethléem ]

Stephanopoulos : Okay congressiste, de nouveau merci beaucoup de vous être jointe à nous ce matin


Bachmann : Bonne matinée, merci.

Paf, scié, lessivé, repassé le Stephanopoulos. Quelle classe la Michèle ! Elle sait tout faire. Des enfants, recueillir ceux des autres, les garder, les élever et redresser l'Amérique qui en a bien besoin. Face à cette sainte et glorieuse femme les minables qui ne pensent qu'à la débauche, continue à brailler. Ils devraient la fermer une bonne fois pour toutes.

Michèle sait faire rire les enfants, même les noirs
Enfin, les chiens aboient c'est bon signe, signe que les gosses sont bien gardés, comme on dit au minet saute là, dans le Minnesota. Elle en connaît un rayon Michèle sur les gosses. Elle en a fait cinq par la voie naturelle, sans plaisir parce que c'est obligé par la Bible, les gosses et de ne pas les faire par vice coupable, et en plus elle en garde vingt-trois autres. Je vous voir venir, vous les perfides, rien à voir avec les allocations familiales puisque Michèle est la seule qui a osé engueuler Obama, comme par hasard noir lui aussi, parce qu'il ne cesse de financer le sexe et la débauche avec ses programmes d'allocations familiales aux pauvres qui font des gosses. Elle donne l'exemple et les ramasse de la poubelle pour les remettre dans le droit chemin de la tradition. 



Ne sachant plus quoi inventer pour arrêter la croisade de Michèle la belle, voilà que l'on ose reprocher, à elle et à son mari, de vouloir soigner les pauvres gays fourvoyés dans leur choix contre-nature. Mais, enfin quelle perfidie. Surtout qu'ils ne touchent pas cher puisqu'ils se font rembourser par le Médicare de Obama, qui soit dit en passant, est une incitation à la fainéantise que Michèle combat et pense bien éliminer dès qu'elle gagnera la présidence. On lui reproche en plus d'avoir touché de ce MaudiCare, la somme ridicule de 130.000 $, alors qu'il est bien connu que 130.000 $ ne sont une fortune que pour les jeunes et les pauvres, comme dit une connaissance, révolutionnaire lui aussi. Franchement le blasphème n'a plus de limite. Regardez et jugez vous-même.



Michèle, plus pucelle mais tellement belle

Il faut être cynique pour ne pas croire sur parole à cette sainte paire
Ne t'inquiètes pas Michèle la belle sont des mots qui vont très ensemble, très bien ensemble et les personnes décentes qui restent encore te défendront ainsi qu'à son saint époux, tes cinq enfants légitimes et les vingt-trois autres récoltés au gré des injustices un peu partout.






Et en Europe, quoi de neuf du côté des révolutionnaires  ?


Chez nous, en Europe, on en a des bons, nous aussi. Notre longue tradition oblige. La meilleure, de loin, est encore une femme et française en plus. Pourtant il y a des nouveaux venus qui présentent une dure concurrence


Marine ni belle ni pucelle, mais qu'est-ce qu'elle bêle


C'est notre Marine le pain quotidien à nous tous, pauvres pêcheurs de France et de Navarre. Les autres circulez, surtout les bronzés.

Sous la pucelle, Marine moins belle mais bien plus guerrière que Michèle


Elle affronte tout ce qui se présente et n'a peur de rien, ni même d'Alien
Elle n'est peut-être pas aussi charmante que Michèle la belle mais elle a un sacré caractère. C'est la preuve vivante qu'il n'y a rien de plus faux que de dire les blondes sont plus connes que les autres. D'ailleurs toutes les femmes sont égales, dire le contraire est discriminatoire et interdit. 

Un petit exemple de sa présence d'esprit, l'autre jour, son chauffeur avait oublié les clés de la voiture sur le contact et claqué la porte. Une pluie torrentielle tombait. Marine, qui n'a même pas engueulé l'imbécile, pleine de sang-froid, s'est rendu immédiatement compte qu'une vitre était resté baissée et que les sièges en cuir, tous neufs, se mouillaient. Elle n'a pas paniqué. Grâce à son sang-froid et à son don d'observation, elle et le chauffeur ont pu pousser la voiture à l'abri sous un porche. Sans sa présence d'esprit les sièges tous neufs étaient foutus. Les histoires de blondes ne sont que des médisances, un point c'est tout.

On dit qu'elle ressemble trop à son père. Elle ne va pas ressembler au voisin quand-même. Surtout de la couleur que sont presque tous les voisins aujourd'hui en France. De toutes façons c'est de l'exagération puisqu'elle n'est pas borgne et moins grosse que le vieux. Elle n'est pas raciste, non plus, puisqu'elle est contre les invasions qui coûtent trop cher et préfère laisser les sudistes rentrer chez eux pour qu'ils y restent tranquilles.



D'Artagnan, debout au service du souverain républicain 

Créatif, il s'était même déguisé en Zidane un jour, avec ses copains qui ne le sont plus du tout maintenant. Il en a eu marre de ces parvenus. Il s'est rebellé. Alors il est tombé en disgrâce. Même Le kalbbach, normalement très cirageusement professionnel, s'est laissé aller et a persiflé  : « Vous n'y allez pas vous Fauxgiel à la présidentielle en 2012 ? Parce que quand on voit la liste des n'importe qui veulent se présenter... ». Le sang de D'Artagnan n'a fait qu'un tour et il a aussitôt touitté : « Le kalbbach me traite de "n'importe qui". Venant de la serpillière des puissants, c'est presque trop d'honneur ! ». Et paf ! Le défenseur du faible et de l'opprimé qu'il est devenu, a encore frappé. Maintenant drapé dans sa cape d'honneur, il n'attend que l'opportunité de bondir au combat contre les misérables puissants qui ont osé le jeter comme un malpropre.

D'artagnan masqué, tendu, prêt à bondir et à appliquer sa botte secrète



Oskar la bagarre mais sans châtaignes

Oskar, tu t'es gouré de patelin
Les suisses nous envient un peu, alors ils s'en sont inventés un. Il parle bizarre comme eux et il a l'air con, aussi. Oskar avec un k, qu'il s'appelle. Il aurait même pu en mettre deux - kk - , tant qu'à faire, ou trois - kkk -, encore mieux ) Martial, comme prénom. Suivi de Freysinger, ça marque depuis l'enfance. Oskar le chanteur libre ça ne devait être triste pour lui, à l'école. Il doit être plus ou moins juif, lui aussi, mais l'andouille se croit gaulois comme Gainsbourg. Il n'a rien compris à Astérix sinon il saurait qu'il est helvète. Si Uderzo et Goscinny se réveillaient, ils en feraient une attaque. Ses compatriotes ne sont pas tous aussi cons que lui loin s'en faut et comme disait le petit gaulois hargneux : il ne faut pas prendre l'helvétie pour des lanternes, même si Oskar en est une, et bien grande, qui n'éclaire rien. Dans le fond, il ne doit pas vraiment être dangereux puisqu'il adore les gosses et le répète beaucoup. Oui, ça peut être inquiétant, mais non, n’exagérons pas. Il y en a des sincères, des fois.



Ben oui, il est con mais au moins il ne s'en cache pas. 




Gene Wilder, le petit-fils de Frankenstein 

Les hollandais n'allaient pas vouloir être les derniers à la course aux révolutionnaires. Alors ils ont sortis une nouveauté. Un comique qui ne fait rigoler personne.


Attention, celui-là c'est du sérieux de chez sérieux


Impressionant ! Ça fait mal rien que de le voir.
On parle beaucoup de lui, tout bas, dans son pays. On l'accuse d'incitation à la haine raciale. Pourtant la Justice l'a blanchi de ces sournoises accusations. Gene a déclaré que c'était « une victoire pour la liberté d'expression » en Europe, menacée selon lui par l'islam. Comme quoi, il devient évident que les révolutionnaires combattants pour la liberté sont constamment diffamésSi on ne peut plus dire librement aux musulmans qu'ils nous emmerdent, où va t-on ?





Il faut bien ça pour controler les dingues du libertinage

Oh oui ! On a besoin de tous ces révolutionnaires car les européens sont de plus en plus fous et le pire c'est qu'ils réclament des droits. Voyez un peu, ce qu'ils sont capables d'inventer. Cet autrichien a imaginé une nouvelle religion pour faire le dingue au volant. Il s'est déclaré pastafari de l'Église du Monstrueux Spaghetti Volant et a sollicité pouvoir conduire affublé du couvre-chef imposé par sa trouvaille religieuse : une passoire.


Permis de conduire autorisant la conduite en tenue de pastafari


Complètement troué, comme une passoire, le pastafari
C'est quoi cette nouvelle religion ? Ce n'est pas catholique. Des pâtes, des pâtes, oui mais des Panzani ! De Rome, des vraies. Ce n'est pas du tout sérieux cette nouvelle église. Ça fait du mal aux bonnes religions. Et qu'est-ce qu'il va dire aux flics qui le  contrôleront ? Il va les saluer les doigts à la visière de la passoire ? Et les jours de pluie ? Il aura l'air fin, tiens.

Et que réclameront les prochains ? Un entonnoir en tant que fous de Dieu ? Un pot de chambre pour les chiites ? Une cheminée pour les juifs ? Les goudistes, un fromage hollandais ? Les crétins, un poisson ? Les agnostiques, une bouse de vache pour être abonné à vie au parcmètre ?

Mon gars, permet-moi de te dire que c'est très limite ton histoire. Ta liberté de conscience ne peut  pas te permettre de mettre en péril la santé des autres. Pense à ceux qui te croiseront sur la route. Estomaqués, pliés, sciés, écroulés, outrés en quelque sorte derrière leur volants à ton passage, ils vont se manger tous les poteaux. Tu n'y a pas pensé à celle-là, hein petit malin ? Et les enfants qui demanderont : « maman c'est quoi ce monsieur ? Rien, regardes pas, c'est pas beau, ça ne devrait pas exister. » Encore une fournée de traumatisés par ta faute. T'es qu'un irresponsable !

M'enfin, on est où là ? Même en Jamaïque et après avoir fumé tous leurs champs, ils n'oseraient pas. Mais nous en Europe on les laisse faire. Inadmissible ! Espérons que nos révolutionnaires vont s'occuper de tout ce bazar.



Mor Aucon

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