Ô rage ! ô désespoir ! orange mécanique !
N'ai-je donc tant de cul que pour ce vieux cynique ?
Et ne suis-je noircie dans les travaux lingers
Que pour voir sans amour tant flatter mon fessier ?
Mon Dieu que de rudesse ce bougre d'homme inspire,
Mon Dieu, lui si puissant que pouvais-je y redire,
Tant de fois affermie la force de sa loi,
Tape-moi, fait-moi mal, et jette-toi sur moi ?
Oeuvrèrent six raéliens et un illuminé ;
Un maléfique nain plein de tics et d'ardeur ;
La poubelle de l'empire en péril de malheur.
Fallait-il vous allier pour terrasser le ponte,
Le jetant à l'engeance des jouisseurs de la honte ?
Ponte, dès que libéré le siège de gouverneur ;
Ce haut rang te donna un bien mauvais quart d'heure ;
On te l'avait bien dit, prévenu, fait des signes,
Bêtement, con de toi, piégé comme un indigne.
Mon cul, n'est du poulet, ni tel un instrument,
Misère des misères utile au boniment,
Paire jadis tant à pétrir, et qui, dans cette offense,
Me servit de recette, et non pas de dépense,
Va, vide désormais du dernier des crottins,
Passe, pour me punir, ta vie sur le tapin.
nota bene : Le délire du bouffon sert la raison du sage.
Mor Aucon.
A travers ces rimes on devine qui a inspiré ce vibrant pastiche .
RépondreSupprimerMor ne boit pas, et il n'y rien de vibrant, non plus. C'est dramatiquement nul. Tant d'entourloupes, on n'y comprends plus rien. Mor se demande même s'il n'est pas un reptilien planqué dans un sac en plastique à forme humaine. Il a cherché la fermeture éclair, mais non, rien. Alors ça va, mais restons aux aguets. On ne sait jamais.
RépondreSupprimerPaz en tu casa, amigo (en corse, Mor ne sait pas dire, désolé).
pace in casa toia !
RépondreSupprimer¡Olé!
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